Identité et Mission de Spiritours
Un voyagiste spécialisé dans l’organisation de voyages de ressourcement pour petits groupes, dans un souci de tourisme équitable. *
* Le tourisme équitable doit permettre l’épanouissement du voyageur et de l’accueillant. Ses ressources doivent encourager l’économie locale et le développement durable des populations visitées.
La référence au Québec
Fondée en 2003, nous sommes l’agence pionnière des voyages de ressourcement et la référence au Canada francophone dans l’organisation de voyages spirituels, de pèlerinages et de retraites afin de contribuer à transformer positivement la vie des gens.
Notre mission
Permettre à des individus de s’arrêter pour faire le point dans leur vie et se ressourcer en proposant des démarches de croissance personnelle et spirituelle dans le cadre d’un voyage ou d’une retraite.
Partir pour mieux se retrouver
L’idéal est de prendre du recul par rapport aux préoccupations, aux engagements sociaux, aux rôles et attentes imposés par l’entourage et au flot envahissant d’informations. Partir à l’étranger permet cette retraite, cette distance nécessaire de son quotidien pour se retrouver avec soi-même. Aussi, le contact avec une autre culture permet de comprendre la portée de son propre cadre culturel et social en se dissociant de ses fausses identités et, de ce fait, en découvrant l’essence profonde de son être.
Notre philosophie
En avez-vous assez de courir?
Pourquoi ne pas prendre une pause pour vous ressourcer et reprendre contact avec cette importante part de vous-même que vous négligez trop souvent: votre âme!
Ceci caractérise l’atmosphère de nos séjours: des voyages qui suscitent la réflexion et donnent des outils de croissance humaine et spirituelle. L’objectif: faire un pas de plus, peu importe où chacun est rendu. Le rythme et la liberté des croyances de chacun sont respectés. Les moments de silence sont encouragés, pour un ressourcement en profondeur. La nature occupe une place privilégiée. Elle conduit à la contemplation et elle est souvent le reflet des paysages intérieurs. L’accueil mutuel est encouragé à l’intérieur des petits groupes afin que se développent la fraternité, l’estime de soi et des autres, le partage et l’écoute.
Vers une culture du don : Fonds de solidarité
Nous avons créé un fonds de solidarité pour aider les jeunes et toute personne qui ont vécu des situations d’itinérance inscrit à un programme de réinsertion sociale à réaliser un projet de voyage pour « ouvrir leurs yeux, leur coeur et leur esprit à de nouveaux horizons du monde et de leur monde intérieur».
«Venez vous-mêmes à l’écart, dans un lieu désert, et reposez-vous un peu.» (Mc 6, 31)
Historique de Spiritours
Spiritours a été fondé en septembre 2003 par Anne Godbout, une femme déterminée, passionnée et dynamique qui a cru en ses rêves et qui a osé se lancer dans un marché de niche plutôt risqué au Québec à l’époque, le tourisme spirituel et religieux. Elle a débuté sa carrière en tourisme chez un voyagiste spécialisé dans les voyages éducatifs en 1992. En l’an 2000 elle a vécu un voyage qui l’a transformé et qui lui a révélé sa mission de vie. Lisez son récit dans cet article de blogue.
Économie de communion
Nous sommes membres de l’économie de communion, un nouveau modèle économique qui place l’humain au centre de ses priorités au lieu du capital. Les bénéfices sont partagés en trois parts: la première pour venir en aide aux plus démunis, la seconde pour éduquer à la « culture du don » et la dernière pour développer l’entreprise. L’idée de l’économie de communion a été lancée par Chiara Lubich, fondatrice du mouvement des Focolari, en 1991, pour diminuer le fossé séparant riches et pauvres.
Ce nouveau projet d’économie propose une conduite inspirée par la gratuité, la solidarité et l’attention aux plus démunis, non pas pour des activités à but non lucratif, mais principalement pour des entreprises orientées, par définition, vers la recherche du profit, lequel sera, dans un second temps, partagé dans une perspective de communion.
Face au phénomène de la mondialisation de la finance et de l’économie, qui ouvre certes des perspectives nouvelles, mais qui met en œuvre un modèle de développement creusant un fossé toujours plus grand entre riches et pauvres, l’urgence se fait sentir d’un changement profond dans la culture et dans la praxis économique.
Lors d’un voyage au Brésil en 1991, Chiara Lubich a donné naissance au projet de «l’économie de communion», pour offrir, même en germe, une réponse au drame de l’extrême pauvreté de populations privées des droits humains les plus fondamentaux
Partage des profits
Celui qui adhère au projet de l’économie de communion décide librement d’utiliser les bénéfices de l’entreprise dont il est propriétaire en portant une égale attention à ces trois points:
- Aider les personnes en difficultés financières, en leur apportant le minimum nécessaire, en commençant par ceux qui partagent l’esprit qui anime ce projet;
- Réaliser une formation à la «culture du don», sans laquelle il n’est pas possible de réaliser une économie de communion;
- Développer son entreprise.
Diffusion dans le monde
L’économie de communion a rencontré un écho immédiat, particulièrement en Amérique latine et en Europe de l’Est où elle apporte l’espoir, face aux craintes suscitées par un capitalisme sauvage dominant après l’écroulement du socialisme.
Elle se répand rapidement sur tous les continents. A ce jour, environ 800 entreprises, petites ou grandes, ont adhéré au projet, dont plus de 200 en Amérique latine et 300 en Europe.
Pour plus d’infos: https://www.edc-online.org/fr/
Quel beau voyage, tant intérieur qu’extérieur. Je remercie l’Éternel de m’avoir permis de vivre ce voyage avec toute l’ouverture du cœur des gens avec qui j’ai partagé ces instants d’éternité. Il demeure à jamais inscrit parmi les plus beaux moments de ma vie.
Chantal T., Québec